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Marchés Financiers

Aperçu du marché Q1 2024

Après les turbulences de 2023, le calme est revenu sur les marchés financiers au premier trimestre 2024. La reprise « risk-on » des actions qui avait déjà démarré en novembre de l’année dernière s’est maintenue tranquillement et les obligations ont été quelque peu stimulées. La volatilité est restée limité.

Opportunités dans le paysage obligataire mondial

Après de solides performances à la fin de l’année 2023, les obligations d’État ont été confrontées à des défis au premier trimestre 2024, tandis que les obligations d’entreprise ont pu enregistrer des rendements positifs.

Démarrage enforce pour les obligations des marchés émergents, en particulier en Amérique latine. La roupie indienne conserve son attrait en raison de la stabilité politique et de son inclusion dans les principaux indices obligataires.

Maintenant que la banque centrale japonaise a commencé à relever ses taux d’intérêt, et cela en combinaison avec l’évaluation (au comptant) avantageuse de la devise japonaise, le yen pourrait bien créer la surprise en 2024.

Divergence économique : croissance saine aux États-Unis, stagnation dans la zone euro

Les contrastes de la croissance économique: En 2023, les États-Uni sont enregistré une croissance saine de 2,4%, alors que la croissance dans la zone euro est restée limitée à seulement 0,6%.

Au cours du troisième trimestre, la croissance aux États-Unis a atteint +5,2%, tandis que la zone euro a enregistré une contraction de 0,4%.

Bouleversement sur le marché du logement : forte baisse des prix réels des logements après une décennie de hausse des prix.

Aperçu du marché Q4-2023

Le quatrième trimestre a encore été comme une série de montagnes russes. En octobre, la tendance négative instaurée en août s’est maintenue. Tant les marchés des obligations que ceux des actions, ainsi que les matières premières ont fait l’objet de fortes corrections et le sentiment des investisseurs s’est effondré. En novembre, les investisseurs ont retrouvé leur appétit pour le risque. Les marchés mondiaux des actions et des obligations ont connu le mois le plus performant depuis trois ans. Cette tendance s’est poursuivie en décembre, faisant du quatrième trimestre l’un des meilleurs de ces dernières années.

Le quatrième trimestre a été déterminant pour faire de 2023 l’année des obligations

Les obligations ont connu une forte impulsion finale en 2023, grâce à la baisse des taux d’intérêt du marché et à une inflation de base favorable.
Les obligations immobilières et les obligations des pays émergents, en particulier d’Amérique latine et d’Europe de l’Est, ont excellé en 2023.

Aperçu du marché Q3-2023

Le troisième trimestre de 2023 a connu trois phases différentes. Le mois de juillet a démarré sur les excellentes performances des actifs à risque, en particulier les actions. Toutefois, alors que les investisseurs s’étaient accommodés du risque, une correction s’est produite en août. Le trimestre s’est clôturé sur des résultats défavorables et seules quelques actions sont parvenues à résister.

Les obligations sont résolument de retour

Des rendements d’intérêt de 5 % constituent une base solide pour l’avenir. L’intérêt croissant pour les obligations est mis en évidence par un afflux de plus de 200 milliards de dollars dans les fonds obligataires et les ETF (et les bons d’État...).

L’interaction de deux géants technologiques dans la danse tourbillonnante des technologies exponentielles

L’évolution de l’attention de la croissance à la valeur et de nouveau à la croissance souligne les nouvelles opportunités offertes par les actions technologiques chinoises. Malgré la montée des tensions géopolitiques et des fluctuations économiques, la Chine demeure une puissance incontournable dans le paysage mondial.

L’Europe passe à la vitesse supérieure pour conserver son rôle de chef de file dans le domaine du climat

Ces derniers mois, les nouvelles initiatives climatiques se sont multipliées. Grâce à la loi américaine sur la réduction de l’inflation, il est tout d’un coup beaucoup plus intéressant pour les entreprises d’entreprendre de nouveaux projets climatiques aux États-Unis. Pour éviter que l’Europe ne perde son leadership en matière de climat, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a proposé en février une législation pour une « industrie à zéro émission nette ». 

Les holdings du Grand Nord

La nouvelle année sera sans aucun doute un défi pour l’économie et les marchés financiers. Dans un tel environnement, les holdings ou sociétés de portefeuille peuvent constituer un atout dans un portefeuille d’actions. En effet, les holdings combinent souvent des politiques financières prudentes avec une palette diversifiée de participations. Les familles fortunées vous permettent de profiter de leur dynamisme et de leur expertise par le biais de holdings cotés en bourse. Comme vous connaissez déjà les holdings belges, nous vous emmenons dans le Grand Nord.