« Les investisseurs ne devraient pas passer à côté du rallye actuel sur les marchés d'actions », explique Ray Dalio. « C’est pourtant ce qui se passe. Il faut trouver un certain équilibre au sein de son portefeuille, mais aussi détenir une certaine quantité d’or. »
Situation malsaine : de plus en plus d’entreprises déficitaires !
Chez Econopolis, nous avons mené une analyse approfondie et sommes arrivés à la conclusion que pas moins de deux tiers des secteurs n'avaient plus aucune valeur parmi les actions européennes. Nous entendons par là que l'évolution structurelle des bénéfices a été négative sur une période de quinze ans. Cela met en perspective la récente euphorie du ‘buy Europe’, que l’on retrouve dans diverses perspectives publiées en début d'année.
Faire une croix sur les obligations ? Pas si vite...
Les emprunts d’État des principaux pays industrialisés sont sur un marché haussier séculaire depuis plus de 30 ans. Depuis les années 1980, les taux d'intérêt à long terme sur les emprunts des États les plus solvables sont sur la spirale descendante. Cette situation a fait flamber la valeur de cette réserve d’obligations mondiales. La valeur d’une obligation est en effet inversement corrélée aux taux d'intérêt : de manière générale, plus les taux baissent, plus la valeur d’une obligation augmente.
[VIDEO] Gregory Christians sur les actions biotech
Grégory Christians, Chief Investment Officer au sein d'Econopolis, vous raconte comment le secteur des biotechnologies a performé en 2019 et quels sont les critères Econopolis appliquent pour sélectionner des actions dans ce secteur.
Actions des marchés émergents : retour du marché haussier
À l'analyse des marchés, force est de constater que les actions des marchés émergents, l'un de nos principaux credo pour les années à venir, ont le vent en poupe. La performance de l'indice MSCI Emerging Markets, l'un des plus vastes indices d'actions de la région, trahit le retour du marché haussier (bull market).