Au cours des 20 dernières années, l’indice américain S&P 500 a obtenu un rendement annuel supérieur à celui de l’indice européen STOXX Europe 600, bien que cela ne s’applique pas aux sous-indices industriels.
Les entreprises industrielles américaines ont un ratio cours/bénéfice de 24 et un rendement du dividende de 1,5 %, tandis que les entreprises européennes affichent des cours plus favorables, avec un ratio cours/bénéfice de 22 et un rendement du dividende de 2,3%.
Business
L’industrie sur le ring : l’Amérique face à l’Europe
L’importance des États-Unis comme marché d’exportation pour les entreprises de l’Euronext Bruxelles
Les États-Unis sont essentiels pour le secteur pharmaceutique belge en raison de la tarification favorable, de la récompense de l’innovation et en tant que marché de vente crucial.
Les entreprises cotées des secteurs de l’industrie, du divertissement, de l’alimentation et des services dépendent elles aussi du marché américain.
L’industrie du voyage et du tourisme : une mine d’or vraiment illimitée ?
Il y a environ 1900 ans, le poète romain Juvénal affirmait déjà qu’outre le pain, les jeux (divertissements) sont importants pour gagner la faveur du peuple.
Aujourd’hui, cela se traduit par une demande quasiment insatiable d’expériences de voyage. Cela offre des opportunités aux investisseurs, mais tout ce qui brille n’est pas or dans ce secteur.
L’industrie automobile japonaise : apogée, concurrence et avenir
L’industrie automobile japonaise a connu son heure de gloire dans les années 1980 et 1990, mais est désormais confrontée à la concurrence des marques automobiles américaines, européennes, sud-coréennes et chinoises.
Toyota et Suzuki sont les deux grands constructeurs automobiles japonais qui se distinguent par une performance boursière relativement solide.
De l’avertissement à l’action : le nouveau rapport sur le climat et la voie vers un avenir durable
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies a publié récemment son sixième rapport de synthèse. Les conclusions sont alarmantes. Mais la situation est-elle vraiment catastrophique ? Ou pouvons-nous encore inverser la tendance ? Nous pensons qu’il est toujours possible d’y remédier.
Le coût de la guerre pour les entreprises
Nous connaissons les grands perdants de cette guerre : ce sont les Ukrainiens qui doivent abandonner leurs maisons, leurs proches, l’avenir qu’ils s’étaient construit à cause de l’agression inutile d’un dictateur russe déséquilibré. Comparé à leur souffrance, notre addition économique a tout l’air d’un exercice cynique. Cependant, ce conflit va déclencher un effet domino, avec des dommages considérables pour l’ensemble de l’économie mondiale. Comme si les entreprises n’avaient pas assez de problèmes à l’issue de la crise de Covid-19 – flambée des prix des matières premières, pénurie de puces et de divers autres composants, montée en flèche des tarifs de fret et des problèmes logistiques, augmentation des salaires – la guerre en Ukraine est venue récemment s’ajouter à la liste. L’impact de cette crise n’est toutefois pas si unilatéral. La répartition entre les secteurs et les régions est donc une nécessité absolue.
Quelle est la profondeur de la crise ukrainienne ?
L’économie russe n’est pas gigantesque en termes de taille, mais en tant que fournisseur de matières premières, elle perturbe profondément l’économie mondiale. L’impact économique du conflit se fait sentir dans le monde entier. L’Europe est plus vulnérable que les États-Unis. Une analyse de scénario nous permet de nous préparer au mieux, malgré toutes les incertitudes. La crise nous donne des leçons en termes d’ESG (Environnement,Social et Gouvernance), de modèle de production mondial, de politique énergétique, d’administration publique et d’indépendance européenne.
La crise ukrainienne donne un coup de pouce supplémentaire à l’inflation
Nous avions prédit que les tensions géopolitiques reprendraient le dessus de l’actualité dès que la pandémie disparaitrait un peu à l’arrière-plan. En revanche, le fait que les protagonistes soient la Russie et l’Ukraine, et non pas la Chine et les États-Unis, a bel et bien été une surprise. Le président russe Poutine a envahi l’Ukraine le 24 février, après un prélude de renforcement des troupes et de démentis du Kremlin, marquant ainsi le début d’une catastrophe humanitaire à la frontière de l’Europe et du territoire de l’OTAN. En outre, les vulnérabilités de l’économie européenne et mondiale sont également ressenties avec plus d’acuité que jamais. Dans cette rubrique, nous répondons à quelques-unes des questions fréquemment posées sur l’inflation, la croissance et la politique de taux d’intérêt des banques centrales.
Réserve de liquidation et SICAV RDT : le tandem idéal
La réserve de liquidation offre un taux d'imposition réduit pour les bénéfices accumulés au sein de votre entreprise et que vous souhaitez distribuer par la suite, à condition de ne pas toucher à ces bénéfices pendant cinq ans. Cette solution ouvre la possibilité d'investir ces avoirs dans l'intervalle, par exemple par un investissement fiscalement avantageux dans une SICAV RDT.
Les entreprises familiales plus performantes en Bourse ?
Connaissez-vous le point commun entre Ford Motors, Lotus Bakeries, Nike et Walmart ? Ce sont toutes des entreprises familiales. Cela change-t-il quelque chose pour l’investisseur ? Absolument. En règle générale, les entreprises dirigées par une famille réfléchissent sur le long terme, leur bilan est plus sain, elles sont plus rentables et signent de meilleures performances en Bourse.